«Voici une œuvre qui conjoint la pensée et les sens, dans un rapport étroit, direct, intime – encore une fois un mouvement, une tension douce qui laisse le territoire des affects à l’arpenteur, au spectateur-marcheur. Loin de toute sentimentalité ou connivence, Isa Barbier partage pourtant, avec nous, un univers. Le spectateur, in situ, est au cœur des correspondances initiées par l’artiste, sans discours ni preuve, sans impôt. Cela laisse le champ libre à ses propres associations. Peu d’œuvres offrent une telle liberté. »

Christine Rodès